Au total, 12 actualités sont dédiées au CBD et au chanvre dans la rubrique : Reims
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Quand le maire de Reims évoque le cannabis dans un podcast
Décidément le maire de Reims est parfois là où on ne l’attend pas. Cette fois, on le retrouve dans un podcast de Nique-La Radio, une webradio au ton volontairement très décalé. Le podcast s’intitule Banana Kush (le podcast des cultures du cannabis, du nom d’une variété de cannabis), « Cannamaires : quand la droite vire au vert ». Où il est donc question de la légalisation du cannabis à laquelle Arnaud Robinet se dit favorable. « Il ne faut pas être hypocrite, dans toutes les classes de la société il y a des consommateurs de cannabis. D’ailleurs, je disais aux bonnes familles rémoises indignées par ma prise de position : ‘Il ne faut pas croire que les seuls fumeurs de cannabis sont des jeunes aux pieds d’immeubles de nos quartiers, il suffit d’aller dans les lycées les plus huppés de la ville de Reims, pour voir un certain nombre de consommateurs mais également du trafic’ », y déclare notamment le maire de Reims.
L’Union
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La légalisation du cannabis expérimentée à Reims ?
Par provocation et pour alerter sur la question, Arnaud Robinet, le maire Les républicains de la ville de Reims avait proposé à Jean Castex de tester dans sa commune, une légalisation expérimentale du cannabis récréatif. A Reims, s’il sait qu’une expérimentation sera quasiment impossible à mettre en place pour des raisons juridiques et légales. Il aimerait au moins qu’un débat puisse voir le jour. Dans quelques jours, une mission parlementaire rendra un rapport national sur cette question. Et dans la ville de Reims, en attendant que le débat s’impose pour les présidentielles de 2022 comme commencent à le vouloir de nombreux élus, le point de vue du maire fait son chemin dans les esprits.
Hortense de Montalivet, HuffPost
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Marne : un boulanger rémois vend des pâtisseries au CBD
Caramel au beurre salé-CBD, chocolat-CBD ou 100% CBD, les éclairs de Sébastien trônent en vitrine à côté des pâtisseries plus classiques. Seul moyen de les distinguer : une feuille de cannabis en chocolat est posé dessus en décoration. Parce que le CBD est bien l’une des substances du cannabis. « Je touche du bois, mais pour le moment ça marche bien, ça plaît aux clients ! », explique Sébastien Lamarle, propriétaire de la boulangerie rue de Saint Léonard à Reims. Il s’est lancé le 1er février dernier dans la fabrication de pâtisseries au cannabidiol, en incorporant des fleurs de chanvre dans la crème : « Ça donne un goût herbacé intéressant que je n’aurais pas en mettant de l’huile de CBD par exemple. Or je voulais le goût et les bienfaits ». Le cannabidiol est réputé pour apaiser, détendre, mais sans l’effet défonce du cannabis. « Et ça fonctionne, j’ai des clients qui me disent que ça leur fait du bien de manger un éclair le soir chez eux. On joint l’utile à l’agréable », commente Sébastien.
Aurélie Jacquand, France Bleu Champagne-Ardenne
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A Reims, il vend des éclairs qui flirtent avec le cannabis
Sébastien Lamarle est boulanger à Reims, rue de Saint-Léonard. Chez lui, vous trouvez du flan, des tartes aux prunes, des pains aux raisins, et non loin d’eux dans la même vitrine, quelques éclairs et tartelettes qui se distinguent du reste des marchandises par trois lettres sur l’étiquette : CBD. Les connaisseurs traduisent aisément : cannabidiol. Un produit qui, comme son nom l’indique, a partie liée avec le cannabis. « J’ai maintenant des clients qui viennent exprès pour ça », observe Sébastien Lamarle.
Antoine Pardessus, L’Union
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Quand Arnaud Robinet, maire de Reims, blague sur la légalisation du cannabis et la Covid
Un reportage diffusé dans l’émission Quotidien sur TMC était consacré à Robin Reda, député Les Républicains de l’Essonne, et à son combat pour encadrer la vente de cannabis dans notre pays. L’élu dévoile quelques échanges avec les trois maires du parti favorables à la légalisation de la marijuana : Gil Avérous (Châteauroux), Boris Ravignon (Charleville-Mézières) et évidemment Arnaud Robinet, édile de Reims. Des conversations tenues au sein d’un groupe WhatsApp, baptisé « Cannamaires ». Le ton des échanges semble être à l’image du nom de ce groupe : bon enfant. La preuve avec des messages postés par le maire de Reims : « En tout cas ce qui est sûr : il est plus facile de trouver du cannabis que des vaccins ! » ou encore « Le THC a peut-être un effet sur la Covid ? »
L’Union
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A REIMS, LES BOUTIQUES DE CBD SE MULTIPLIENT
Après sa première boutique, installée avenue Jean-Jaurès à Reims, Brin d’Herbe s’implante en plein centre-ville, rue Buirette. L’endroit est élégant, l’accueil souriant : celui de Flora, future coresponsable du magasin. « L’objectif, c’est que les habitants du centre-ville aient un lieu élégant, à l’image du quartier », commente l’intéressée. On y trouve tous les produits de détente et de bien-être vendus dans la première boutique : tisanes, huiles essentielles, superaliments, produits d’hygiène et d’entretien naturels, et toute la gamme des produits à base de CBD.
L’Union
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UN SECOND MAGASIN DE CBD OUVRE A REIMS
Relax Shop est le second magasin de CBD qui ouvre à Reims, au 70 rue de Talleyrand. Brahim Kanoune propose cette molécule du chanvre dans des produits variés. Il vend aussi des produits naturels, de relaxation et bien-être : tisanes, huiles essentielles de citrouille, de chardon, de noix, savons au miel, propolis, lavande. Quelques gadgets pour le chanvre viennent compléter les rayons.
L’Union
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REIMS : UNE BOUTIQUE BIEN-ÊTRE QUI ALLIE CBD ET MEDECINE DOUCE
La boutique Brin d’herbe a ouvert le 8 septembre à Reims, dans la rue Jean Jaurès. A côté des produits d’hygiène bio et 100% français, elle vend des produits à base de CBD ! une des molécules du chanvre. Les produits au CBD ne représentent finalement qu’une petite vitrine à côté du comptoir : des fleurs, des tisanes, et des huiles. Il y aurait environ 400 boutiques vendant des produits au CBD en France, mais le concept inventé par Mathieu Bersot va plus loin puisque derrière sa boutique, il loue des espaces à des praticiens de médecine douce (sophrologie, massage, naturopathie...).
Aurélie Jacquand, France Bleu Champagne-Ardenne
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REIMS : UNE NOUVELLE BOUTIQUE PROPOSE DU CBD
Récemment ouverte à Reims, la boutique Brin d’Herbe propose à la vente des produits naturels de bien-être et de détente, mais également à base de CBD. Sur la vitrine, le sigle gravé de cette abréviation du cannabidiol attire l’attention. Brin d’Herbe vend des huiles, des tisanes, des gélules et des e-liquides pour cigarette électronique qui contiennent cette molécule légale du chanvre.
L’Union
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A QUAND L’AMENDE FORFAITAIRE DE 200 EUROS ?
Pour sanctionner les consommateurs de chanvre, l’amende forfaitaire de 200 € votée en novembre 2018 doit être expérimentée à Rennes, Reims et Créteil. La phase test, qui devait à l’origine démarrer en décembre 2019, ne sera finalement pas lancée avant mars, voire juin ou fin 2020.
Léa Guyot, Le Journal du dimanche
Bretagne France Grand Est Ile-de-France Ille-et-Vilaine Marne Reims Rennes Val-de-Marne
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EST-CE DANGEREUX D’OUVRIR UN COMMERCE DE CBD EN FRANCE ?
Le 20 janvier 2020, la cour d’appel de Reims a relaxé le gérant d’un magasin rémois qui vendait des e-liquides CBD avec moins de 0,2 % de THC. L’homme a été relaxé en appel, le parquet ne l’a pas pourvu en cassation : une première en France. « Cette décision (…) pourrait être suivie dans des affaires similaires par d’autres cour d’appel et (…) faire cesser toute poursuite des personnes qui ouvrent des commerces autour du chanvre ou du cannabis », d’après maître Ingrid Metton, l’avocate du prévenu. Cette spécialiste précise que les décisions de justice sont plus ou moins clémentes selon la zone géographique. Attendue fin mars, la position de la Cour de justice de l’Union européenne sur une affaire similaire pourrait inciter le gouvernement à clarifier la législation sur le commerce du CBD.
France 3 Champagne-Ardenne
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VERS UNE JURISPRUDENCE SUR 0,2% DE THC DANS LES PRODUITS FINIS ?
Perquisitionné en août 2018, le gérant d’un magasin vendait des e-liquides CBD contenant des traces de THC. Innocenté en première instance au titre de la nullité de sa garde à vue, le procureur a fait appel de cette décision. Fait intéressant, le gérant a de nouveau été innocenté en appel, en « absence de caractérisation de l’élément matériel des infractions ». Cette fois-ci, le parquet de Reims a basé sa décision sur le fait que l’infraction n’est caractérisée que si le taux de THC est supérieur à 0,2 % dans le produit fini, comme fixé par l’arrêté du 24 février 2004 modifiant l’arrêté du 22 août 1990 pour application de l’article R5132-86 II. Cette décision ne fait pas encore jurisprudence, mais elle est défendue notamment par le rapporteur général de la mission d’information chanvre et pourrait inspirer d’autres appels.
Aurélien Bernard, Newsweed