Au total, 3 actualités sont dédiées au CBD et au chanvre dans la rubrique : Zimbabwe
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ZIMBABWE : LE GOUVERNEMENT FONDE DE GRANDS ESPOIRS SUR LES REVENUS DU CHANVRE
Au Zimbabwe, l’exécutif fonde de grands espoirs sur l’industrie du chanvre. D’après des prévisions relayées par Bloomberg, les recettes d’exportation pourraient atteindre 1,25 milliard de dollars en 2021. De tels revenus feraient du chanvre la première culture d’exportation en termes de recettes, devant l’industrie du tabac qui est historiquement la principale source de devises agricoles du pays (444 millions de dollars en 2020). Selon Clive Mphambela, porte-parole du Trésor, 44 licences ont été accordées depuis l’annonce en septembre dernier d’une législation plus tolérante qui autorise la culture, la commercialisation, la transformation du chanvre industriel ainsi que sa production à des fins de recherche. Si pour le gouvernement, l’heure est à l’optimisme, certains observateurs restent encore mesurés. Les prix pourraient aussi chuter avec l’arrivée sur le marché de stocks d’autres pays ayant choisi aussi de développer leur industrie du chanvre.
Espoir Olodo, Agence Ecofin
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LE ZIMBABWE DEVOILE SES LICENCES DE CULTURE DU CHANVRE
Le gouvernement du Zimbabwe a dévoilé les 3 licences qui permettront notamment de cultiver du chanvre sous l’égide de l’Agricultural Marketing Authority (AMA), l’autorité de régulation chargée de la plante. « L’Autorité peut délivrer les types de permis suivants : un permis de cultivateur général, un permis de recherche et de breeding, et un permis de commerçant industriel de chanvre », peut-on lire dans le règlement zimbabwéen. La consommation de chanvre reste illégale au Zimbabwe et la plupart des activités commerciales autour de cette plante ne peuvent faire de promotion.
Aurélien Bernard, Newsweed
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ZIMBABWE : UNE AUTORISATION DE LA CULTURE DU CHANVRE SOUS CONDITIONS
Au Zimbabwe, la législation est désormais plus tolérante vis-à-vis de la culture du chanvre. Auparavant, cette production pouvait conduire à un emprisonnement de près de 12 ans. Mais le gouvernement a publié récemment une nouvelle législation qui autorise cette activité, sous conditions. Selon les propos d’Anxious Masuka, ministre de l’Agriculture, des licences seront octroyées aux agriculteurs, aux chercheurs et aux négociants. Ce relâchement de l’arsenal réglementaire devrait permettre au pays de développer ce marché encore inexploité et au gouvernement de récupérer des recettes fiscales supplémentaires sur le marché intérieur.
Agence Ecofin